par OTR Dim 31 Oct - 15:09
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<TR> <td> .</TD> <td width="2%"></TD> <td width="5%"></TD></TR></TABLE> <TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%">
<TR> <td align=middle></TD></TR> <TR> <td> Equipage Delannoy/Harrewyn Toyota Land Cruiser BJ, 1979 </TD></TR></TABLE>Dès la première édition, en 1979, bon nombre de concurrents choisissent le Toyota Land Cruiser pour affronter le désert du Sahara. Ce véhicule est renommé pour sa robustesse et sa capacité de franchissement tout en étant d'une habitabilité et d'un confort très acceptable. <TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%">
<TR> <td align=middle></TD></TR> <TR> <td> Toyota Land Cruiser BJ personnel de Thierry Sabine véhicule balai piloté par Daniel Lentaigne, 1979</TD></TR></TABLE>
A partir de 1980 des équipes d'usines participent également, mais le Dakar restera toujours composé d'une majorité de privés. <TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%">
<TR> <td align=middle></TD></TR> <TR> <td> Equipage Ueli/Uhlmann Toyota Hi-Lux, 1981</TD></TR></TABLE>
En 1981 le Dakar est reconnu officiellement par la FIA. Le Toyota Hi-Lux arrive en force et le meilleur résultat est obtenu par l'équipage suisse Ueli/Uhlmann qui finit 21e, derrière quatre Land Cruiser. Les véhicules sont divisés en classes. Pour les voitures, la classe Marathon est subdivisée en T1 pour les voiture de production non-modifiées et T2 pour les voiture de production modifiées. T3 est réservé aux prototypes. <TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%">
<TR> <td align=middle></TD></TR> <TR> <td> Masaru Kubota sur Toyota Starlett, 1981</TD></TR></TABLE>
Les premières éditions du Dakar voient arriver des amateurs de tout genre, en 2CV, Vespa ou Rolls. Lorsqu'un équipage japonais se présente en 1981 avec une Toyota Starlett, ils rentrent dans la catégorie des marginaux. Pourtant ils arrivent à Dakar, mais trop tard pour être qualifiés. <TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%">
<TR> <td align=middle></TD> <td align=middle></TD></TR> <TR> <td> Toyota Carina, Kubota 1982</TD> <td> Toyota Corolla, Kubota 1985</TD></TR></TABLE>
Masaru Kubota et Masahiro Uchida sont de retour l'année suivante avec une Carina. Cette fois on ne rigole plus, la "Carina volante" est la première des voitures à deux roues motrices à l'arrivée et se classe 34e au général. En 1983, ils doivent abandonner avec la Carina. Kubota revient en 1984 et 1985 avec une Corolla. <TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%">
<TR> <td align=middle></TD></TR> <TR> <td> Pierre Fougerousse Toyota Celica Proto, 1982</TD></TR></TABLE>
Ce proto à carrosserie de Celica est monté sur un châssis de Land Cruiser HJ45 avec un moteur V8 Chevrolet de 250 cv, elle n'arrive pas au bout du Paris-Alger-Dakar, nouveau nom officiel du rallye en 1982. Un Hi-Lux remporte la classe T2 diesel et termine 9e au général. <TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%">
<TR> <td align=middle></TD></TR> <TR> <td> Equipage Lacaze/Vecchini Toyota Tercel, 1983</TD></TR></TABLE>
La Tercel s'y est aussi essayé, en 1983 et 1984. <TABLE border=0 cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%">
<TR> <td align=middle></TD></TR> <TR> <td> Equipage Berliet/Ducassou Toyota Proto Koro, 1985</TD></TR></TABLE>
Surnommé la godasse ce prototype de André Koro est construit sur un châssis de HJ45 datant de 1979. Abandon.
dermier rallye raid la 1ere edition de la regreter Transaficaine avec Mr KORO lui meme en temps que copi ... |